l'Ere deophile: La religion Mondiale

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L’ERE DEOPHILE

 

Cet ouvrage parle de la RELIGION MONDIALE et du TROISIEME TESTAMENT. A l'aube du VIIème millénaire de l’ère Adamique, un Initié visionnaire parle. Il nous délivre un oracle puissant, par lequel est dévoilée la face d’une civilisation nouvelle. Il prédit, par un message fort et bouleversant, l'avènement de « l'Ere Deophile ». L’ère de la « Nouvelle Alliance ». L’auteur  se présente à nous comme notre « paraclet » ! (Notre conseiller, un consolateur). Tantôt son discours est philosophique, tantôt scientifique, tantôt  prophétique, mais toujours savant.

Dans un discours iconoclaste et inspiré, il lapide la société des loisirs et  la « comédie du bonheur »… Il bouscule l’angélisme naïf des gens pieux, captive les sans foi, interpelle les théologiens et les philosophes autant, que les politiques. Il fait taire les mystificateurs, adeptes du « calendrier Maya » et redéfinit la place de l’Homme dans la création en rappelant les Lois fondamentales de l’univers.

Pour la première fois, croyants, non croyants, artistes, politiques, scientifiques, religieux et l’homme en général, sont associés par un même défi : établir une civilisation nouvelle. Cet ouvrage montre la voie à tous ceux qui prient dans la nuit, fatigués d’attendre le retour d’un Christ, la venue d’un Messie ou simplement l’amélioration d’un système devenu opprimant. Il dénonce les perversités démocratiques, prédit la « révolution du bonheur » et appelle à « vivre aujourd’hui comme tout le monde vivra demain ». C’est l’inattendu que tout le monde attendait !

(Bénédicte Civet-Lobstein)

 

Préface de Daniel Brot :

           

            « Lorsque l’auteur me demanda d’examiner son texte, je crus tout d’abord qu’il s’agissait d’un ouvrage, fort bien documenté, sur l’évolution annoncée des différentes religions convergeant vers une religion universelle, celle de l’Ere du Verseau. Mais, après avoir pris connaissance de « dialogue avec l’Ange » puis relu l’Ere Deophile sous ce nouvel éclairage...

            Bien que ce soit une part importante de l’ouvrage, en le réduisant à ce seul aspect, je compris que j'étais passé à côté de son principal message, lié au grand avènement spirituel que l’énergie combinée du Verseau et d’un nouvel Age d’Or réserve à notre monde en mutation…

            Et ce message c’est la communication avec Dieu, quelle que soit la forme qu’on lui donne, ou la hiérarchie intermédiaire qu’on lui attribue (le Christ, les Anges, les Saints, les Anges gardiens…). Cette communication, de plus en plus directe, nous éclaire sur le don que les chamanes des temps (très) anciens possédaient. Mais entre temps, l’énergie des six millénaires de l’Age de Fer a conduit à une descente vers le matérialisme atrophiant les réceptacles de la quasi-totalité des individus les liants au cosmos. Et la nouvelle ère (deophile), parmi tous les changements fabuleux qu’elle opère, reconstitue progressivement les glandes (pituitaire et pinéale) des hommes, parcimonieusement dans un premier temps, pour ceux qui comme l’auteur ont pour tâche d’ouvrir la voie, aux nouvelles générations qui apparaissent, que certains appellent « enfants indigos ». Il faut dire que le mot clé du Verseau est « Transgression », mais il ne s’agit pas de transgresser pour le plaisir. Il s’agit de dépasser les dogmes qui, par définition, sont des artifices liés aux besoins d’une période ou d’un individu. La transgression dans ce cas, les remet en cause pour progresser vers des notions plus universelles.

            J’ai compris ce message lorsque l’auteur me fit connaître la référence citée dans l’ouvrage « communication de quatre jeunes Hongrois durant l’occupation nazie avec une être de lumière ». C’est cette amorce d’évolution qui, avec bien d’autres symboles très forts, marqua les prémices de la nouvelle ère, deophile en l’occurrence, qui se développe. C’est la grande information qui nous est donnée par l’énergie nouvelle : « nous ne sommes pas seuls et nous pouvons aller chercher réponses et informations pour autant qu’elles soient destinées au « juste » ». Il s’agit donc bien de réveiller la partie divine qui est en nous.

            Et curieusement, après avoir accepté de grandir avec cette dimension supplémentaire, les hommes vont voir les dogmes artificiels et les déformations jadis inspirées par des besoins de pouvoir des différentes religions disparaitre, pour laisser la place à l’essentiel : au Divin nommé « Inconnaissable » dans cet ouvrage.

            En cela, l’ère deophile  éclaire sur le sens de la révolution en marche, sur le « fil de Dieu », si j’ose ce jeu de mot, que l’auteur a, à maintes reprises, expérimenté dans ses contacts avec l’infiniment subtil, l’infiniment beau.  (Daniel Brot)

About the author

De la chanson à la littérature…

Mathias Ollivier est né à Liège de père Belge et de mère Française. Son père est prisonnier en Allemagne durant la guerre et sa mère Résistante, décorée de « l’armée secrète » accompagne le Général Patton durant la bataille des Ardennes pour libérer les déportés des camps de concentration nazi.

Il poursuit ses études à Liège et souhaite devenir archéologue, mais les difficultés familiales le contraignent à travailler dans la Restauration. Il se cultive en autodidacte et se  passionne pour l'histoire des civilisations et des religions. Il quitte la Belgique à l'âge de dix-sept ans pour naviguer comme steward sur les cargos.

En 1970, Amoureux de la France depuis toujours, il monte à Paris.

 

       Avant de devenir écrivain Mathias Ollivier se fit la plume comme auteur de chansons. Il en écrivit des  centaines, dont plusieurs furent classées au hit-parade.

Ses pérégrinations à travers le monde paysan, ouvrier, commerçant, puis à travers le show business, les médias... Ses voyages autour du monde, son intérêt pour l'archéologie, l'histoire des civilisations... Le constat de la souffrance d'un grand nombre de ses contemporains... Ont fait de lui un observateur attentif de la société, puis un écrivain.

 

En arrivant à Paris, Mathias est remarqué lors d'une audition, par un directeur artistique des disques Polydor où il enregistre son premier disque 45trs sous le pseudonyme d’Ollivier Laurent.

(Maxime Leforestier - Jean Michel Caradec - Georges Moustaki étaient également artistes Polydor à cette époque).

C'est alors qu'il fait ses premières télés puis obtient un rôle dans « Hair », puis dans « Superstar », il joue au TNP, au Châtelet - à l'Olympia…

 

Entre 1970 et 1980 : Mathias a enregistré 17 vinyls - 2 CD albums - 2.000.000 disques vendus. Il travaille avec les Majors, des hommes d'envergure, tels que Eddie Barclay, Claude Carrere, Franck Thomas, Guy Lux, Hubert Ballay, Bruno Coquatrix.

Il tourne avec Claude François, Joe Dassin, Jean-Jacques Debout... Plusieurs tournées de concerts en soliste en France et à l'étranger - Nombreux Prime Time TV.
Réalisateur Producteur Audio/directeur artistique/ pour divers artistes.

Toutes les radios programment ses premiers disques (Une fille en or - Je vais je vois j'espère - Marie Trevor), mais les ventes ne décollent pas. Il garde un très mauvais souvenir de sa première télévision promotionnelle. En effet, cet après midi là, Michel Sardou enregistrait lui aussi sa première télé avec « Mourir de plaisir »… Concurrence à laquelle Mathias ne put faire face… « Mourir de plaisir » était un titre beaucoup plus fort, erreur de stratégie de la boîte...

 

            On lui reproche d'écrire de « trop belles chansons »… de n'être pas "au format" ! Il se bat pour être un jour reconnu comme un artiste dans la lignée des grands. Il pense que pour y parvenir, il faut être crédible et oser choisir la porte étroite. C'est pourquoi lorsqu'on lui propose de chanter « dadadirladada », il refuse estimant que cette chanson, ne correspond pas au type de carrière qu'il souhaite faire. Son contrat est donc rompu après trois 45trs.

 

En 1972, il signe avec Claude Carrère, qui lui propose de composer quelque chose de « commercial », de manière à apparaître dans les Hits parade ; cette concession devant par la suite, lui permettre d'enregistrer ses meilleures chansons. Il accepte à contre cœur. Les trois 45trs qu'il enregistre alors sous le nom de Mathias, coup sur coup, deviennent des tubes. (Il ne faut penser qu'à ça - Une fille en France - Pas un jour sans une ligne). Il fait alors plusieurs émissions de télé en prime time, les podiums RTL, Europe N°1, etc…

 

Mathias souffre énormément des manipulations, du chantage au « prêt à tuber » qu'il subit. Quand il apparait en public, on le sent mal dans sa peau… Il se plaint de n'avoir pas le droit d'être lui-même. Après trois 45trs, il décide de sortir du cadre de la « chanson pour minettes », pour ne pas rester un petit « chanteur à paillettes »… Son souhait est de se créer un vrai répertoire, lui permettant de faire de la scène ; cela passe par l'enregistrement d'un album comprenant des œuvres de véritable qualité artistique… Il fait entendre ses titres à ses producteurs, mais ceux-ci refusent de les enregistrer prétextant qu'il s'agit de « belles chansons pas assez commerciales », s'opposant même à l'idée que Mathias fasse de la scène… Il se sent alors trahi. Il s'en suit un conflit, qu'il décrit dans son ouvrage auto biographique : « l'Amour à cappella » (à paraître).

 

En 1974, Fidèle à l'idée de donner au public des œuvres authentiques, renonçant au conformisme et à l'argent facile. Il arrêta net sa carrière refusant l'image du chanteur aseptisé qu'on voulait qu'il adopte, pour être artistiquement libre ; estimant que certains compromis le  tiraient vers le bas et l’empêchaient de  faire une œuvre de sa vie. Il fait alors une traversée du désert pendant laquelle il se prépare à une carrière littéraire.

 

            A la suite de cette rupture, Eddie Barclay, qui comprenait son drame, lui propose un contrat lui permettant d'enregistrer des œuvres qui lui ressemble…

 

            Mathias entreprend alors son virage et enregistre trois 45trs (15 ans - Ma gueule de Lion -  les autres), mais la promo se heurte au refus des radios de le programmer : « pas au format » ! Eddie Barclay se bat pour développer sa carrière, mais le directeur de production et les programmateurs de radios, refusent de le suivre. Mathias se retrouve ainsi  « entre l'enclume et le marteau ». Les ventes ne suivent pas, il se voit contraint d'accepter la lettre de licenciement qui lui est adressée.

 

            Après cela Mathias enregistre quelques vinyles avec d'autres producteurs, comme Hubert Ballay qui avec l’aide de Bruno Coquatrix, Cloclo et Joe Dassin, se bat pour l’imposer.

            En 1975, il tient avec succès, la scène de l'Olympia en première partie de Julio Iglesias.

            En 1976 le public de la "Rose d'Antibes" l'ovationne, mais les médias ne veulent toujours pas suivre...

 

            La plupart des articles parus dans la presse sur le parcours de ses tournées, décrivent Mathias comme : « un acteur de chanson qu'il faut voir chanter » et qui possède la justesse de l'authenticité.

Mais le succès n’est pas au rendez-vous. Les programmateurs de radios lui reprochant toujours de n'être « pas au format ».

Les pressions, la déferlante de la « new wave » des années 80, l'oblige à faire retraite jusqu'en 94, pour prendre du recul et travailler à des productions plus authentiques, en étant entièrement libre artistiquement. C'est dans cette période qu'il travaille son écriture et se prépare à une carrière littéraire.

 Les producteurs s'imaginent qu'il a fait fortune avec ses succès… La réalité est toute autre. Les sommes qu'on lui doit ne lui seront jamais versées. Sans le sou, les impôts sur ses talons, il se voit alors contraint de chercher du travail dans la restauration pour ne pas se retrouver à la rue.

 

En 1994, il parvient à faire sortir son premier album, dont les enregistrements avaient débutés en 89. Après quelques mois de promotion, plusieurs centaines de radios locales programment ses chansons, mais les grands périphériques quant à eux, font la sourde oreille. Xavier, son nouveau producteur, a beau leur mettre sous le nez les centaines de « cartes retour » positives des fréquences de province, démontrant qu’il fait de l'audience ou les articles de presse témoignant du succès qu’il remportait sur les planches partout en France : rien à faire... Pour ces Messieurs les parisiens, la province n'existe pas !

 — Mathias, c'est très bien...  C’est « un grand », une « pointure » et une « bête de scène »…  Mais achetez nous de l'espace publicitaire,  répondaient les programmateurs, sollicités pour la diffusion d’un titre... 

Le mépris !

 

            Mathias se marie, son épouse met au monde une petite fille magnifique, mais se  suicide peu après. Il se retrouve seul avec un bébé en bas âge. Il lange, il biberonne et survit à la misère en s'inscrivant au Rmi…

 

En 1997 : Il produit un nouvel album : « au Seuil de 2000 », dont la plupart des titres ont été écrits entre 75 et 85… A cette époque, les producteurs refusaient d'enregistrer ses chansons, les jugeant dérangeantes ou toujours : « trop belles »…

Cet album est programmé partout en France, sauf à Paris. Les distributeurs renoncent alors à le mettre en place ; c'est un nouvel échec commercial. Ce CD permet de juger des talents de visionnaire de Mathias, qui fut toujours en avance sur son temps.

 

Comme d'autres artistes, Mathias veut faire une œuvre de sa vie. Il y travaille inlassablement, espérant figurer parmi les plus grands. Il cherche, triture les mots et les rimes, nuits après jours. Il sacrifie tout à son art. Mais le show business est-il fait pour les artistes ? N’est-il pas plutôt une usine à fric ! Composer de « belles chansons », n’est pas tout à fait la même chose que de « faire des tubes »… Faut-il s’étonner alors qu’un auteur original, soit méprisé et rejeté, autant que le fut Mathias ? Préserver son authenticité tout en s’adaptant au métier, sans pourtant tomber dans le conformisme, est sans doute un des exercices les plus périlleux qui soit ; dans ce milieu qui ne jure que par l’argent et la mise au format de tout ce qui est destiné au public. 

 

Mathias Ollivier est  un des rares artistes à avoir eu le courage de refuser de se laisser formater par le « show biz », pour rester  libre artistiquement. Iconoclaste, intemporel, poétique, «  pas au format »… Il reste un inclassable dans ce métier où il navigue à contre courant. Son parcours accidenté est essentiellement un combat contre la conformité à la norme.  (H.Ballay)

 

·      ECRIVAIN -  OUVRAGES PARUS :

Ma maison de Vie – 1998 – Editions du Prieuré

La Nulture – 2005 – Editions le Manuscrit

Le Merblex  – 2007 – Editions Demeter

Pas au format – 2008 – Editions le Manuscrit

Dominique nique nique – 2009 – Editions du Compas

Serpula – Sept 2010 – Editions Art-Access

L’Ere Deophile  – Sept 2010 – Editions Art-Access

Les Messes Basses de Nicolas Flamel – Nov 2010

Le Merblex  – ré édition 2012

L'amour à Cappella - à Paraître 

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