Traduction par Th. Bentzon . Revue des Deux Mondes, 3 e , tome 95, 1889 (pp. 96-132). I. On ne saurait imaginer plus belle matinée que celle qui, vers la fin de juillet, me vit partir une dernière fois pour Aros. Un bateau m’avait fait aborder la veille au soir à Grisapol ; j’eus le déjeuner que peut fournir la petite auberge et, laissant mon bagage, jusqu’à ce qu’une occasion se présentât de le faire transporter par mer, je traversai, d’un cœur joyeux, le promontoire.