Claude PRINCE, à l’aide de son pendule, ne tarde pas à déterminer que M. Rodier se trouve, sans vie, dans un petit hôtel délabré.
Quand le commissaire de quartier, prévenu par le détective, débarque avec ses agents sur les lieux, il découvre, étendu sur le parquet, le corps de M. Rodier entouré de bougies vertes, un stylet planté en pleine poitrine.
Un message est fixé sur l’arme : « La trahison est un crime qui se paie de trois bougies vertes ! »
Avant de partir et laisser la justice faire son œuvre, Claude PRINCE prévient le policier : « cet homme n’a pas été assassiné ! »
René Marcel Priollet né le 6 août 1884 à Ivry-sur-Seine et mort le 10 novembre 1960 à Paris, est un écrivain français, auteur dans tous les genres du roman populaire (romans sentimentaux et mélodramatiques, science-fiction, romans policiers et d'aventures). Il fait partie de cette légion d'auteurs spécialisés du genre qui firent, entre-deux-guerres, les belles heures des maisons d'éditions populaires J.Ferenczi & fils — aux côtés entre autres de Jean de La Hire ou de Maurice Limat —, Tallandier (dans Le livre national), Fayard et autres. Seul ou en collaboration avec son frère Julien Priollet, il a écrit sous son nom propre et sous plusieurs pseudonymes : René-Marcel de Nizerolles, Henry de Trémières, Marcel-René Noll, René Valbreuse, etc... (Wikipédia)